Ce matin, j’ouvre la porte coulissante de mon placard. Une quantité faramineuse de vêtements se disputent un espace minimaliste, mes fringuent me tombent pratiquement sur la tête tellement c’est le foutoir. Pourtant, je m’écris : «J’AI PU RIEN À ME METTRE!»
Vous connaissez le scénario ? Bien sûr que vous le connaissez. C’est le drame auquel est confrontée toute femme (vivant dans un pays riche, on s’entend) à chaque changement de saison ou presque. La fausse pauvreté causée par notre trop plein de surabondance… Ooh, que faire, pôvres de nous [Lire la suite …]